Ralentir ~ Respirer ~ Ressentir
Forêt vient de l’ancien français selve, du latin silva – selva en espagnol. D’où le mot sylvothérapie, désignant une pratique de soin au contact des arbres.
Selvea est un mot inventé par des étudiants en communication à qui j’ai confié la création de l’identité de mon activité. Il a tout de suite résonné en moi.
En plus de faire écho à la forêt, on peut interpréter à travers ce mot la notion de la sève qui « s’éleve». S’élever vers quoi ?
S’élever vers un bien et mieux-être global. A l’image de la sève qui s’élève dans l’arbre, des racines vers ses frondaisons, les activités proposées par Selvea invitent à retrouver ce lien entre ancrage et alignement, afin de tendre vers un équilibre entre le corps et l’esprit.
L’environnement de la forêt naturellement nous apaise : le chant des oiseaux, la couleur verte, l’odeur de l’humus, le contact avec les arbres, nos alter-ego.
Selvea pour une reliance à la nature : soigner sa relation à la nature, c’est renouveler le rapport à soi, aux autres et au vivant.
Selvea a pour vocation de proposer des expériences sensibles, sensorielles et intimes pour « être » avec la nature ainsi que la forêt dès que cela est possible.
Les valeurs portées par Selvea
Ecoute : très attentive aux besoins de chacun, je suis en vigilance constante pour les identifier afin d’y répondre. Les temps de partage, dans le non jugement et la bienveillance, sont essentiels pour soutenir chacun dans son processus de « reconnexion ».
Convivialité : le silence est un des fils conducteur facilitant ce processus de « reconnexion ». Je veille toutefois à ce qu’une ambiance joyeuse et chaleureuse enveloppe le groupe à tout moment.
Créativité : au fil des saisons et de l’inspiration, je renouvelle les événements, les itinéraires, les thématiques, les co-créations en partenariat, etc. Ces propositions s’appuient sur des formations et stages réguliers de connexion à la nature et à la respiration.
Liberté : c’est le fil rouge de mon parcours de vie. Alors quoi de plus naturel que de veiller à ce que chacun se sente libre de faire -ou pas- les propositions dans les marches et les bains de forêt. Elles sont en réalité des « invitations » à explorer : ralentir, respirer et ressentir se font pas à pas – il n’y a que vous qui sachiez le rythme dont vous avez besoin.